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L'actualité de la santé et de l'hôpital

25 octobre 2012

Circuit du médicament et sécurisation des soins

On se souvient du drame qui avait coûté la vie au Petit Ilyès, 3 ans, décédé en 2008 à l'Hôpital Saint Vincent de Paul alors qu'il y avait été admis pour une simple angine.

L'enfant est mort dans le service de pédiatrie après que du chlorure de magnésium lui a été administré par erreur au lieu d'un sérum glucosé. Notre culture française de la responsabilité a imposé à la Justice de trouver un coupable. Trouver un coupable plutôt que d'identifier les dysfonctionnements structurels qui ont conduit à ce drame. C'est ainsi que l'infirmière qui a fait l'erreur d'administration, le chef de service de lapharmacie, la cadre supérieure et deux cadres de santé ont été mis en examen pour homicide involontaire. A sa demande, l'AP-HM a également été mise en examen, en tant que personne morale.

L'instruction a mis en évidence trois erreurs commises par le personnel. D'abord, un carton contenant du chlorure de magnésium a été placé par erreur dans un lot de sérum et avait été expédié par le service central de la pharmacie des hôpitaux à Nanterre. Ensuite les cadres infirmiers du service à Saint Vincent de Paul n'ont pas vérifié le contenu de la livraison puis l'infirmière a administré le produit à l'enfant sans avoir lu l'étiquette du produit perfusé.

Aujourd'hui, on cherche un coupable. La vraie question est pourtant celle de la sécurisation du circuit du médicament, qui est un gros travail à mettre en place. Il faut organiser, former et mobiliser l'ensemble des acteurs, afin qu'un tel drame ne se reproduise pas.

Après les réquisitions du parquet,la juge d'instruction pourrait rendre son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel dans les mois qui viennent.

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22 octobre 2012

La télémédecine gériatrique

Le recours à la télémédecine semble aujourd'hui de plus en plus fréquent.

Je vous parlais déjà de ce procédé il y a quelques jours, à propos de la médecine en prison.

Aujourd'hui, l'agence de presse médicale fait état de l'usage de la télémédecine en gériatrie.

Les hôpitaux du bassin de Thau dans l'Hérault ont lancé il y a un an une expérimentation de télémédecine gériatrique avec des EHPAD. Grâce à l'utilisation de tablettes numériques de type ipad, les personnes âgées pouvaient bénéficier d'avis de médecins spécialistes et ainsi éviter les transferts.

Depuis le début de cette opération, 35 sessions de vidéo gériatrie ont eu lieu. L'expérimentation a démontré de nombreux avantages: personne_ag_e

  • Fluidification du parcours de la personne âgée : on évite un transport et l'attente dans les services d'urgence ou de médecine
  • Intervention plus précoce : intervention en amont de l'alourdissement de la pathologie
  • Continuité des soins entre établissements
  • Augmentation de la qualité des soins et du confort pour la personne âgée
  • Coût inférieur (achat ipad vs. transport en ambulance)

On apprend par ailleurs que d'autres expérimentations de télémédecine sont menées actuellement, dans des services de cancérologie et de néonatologie. Dans ce dernier cas, les ipad servent aux mères notamment à pouvoir regarder leur enfant lorsqu'elles sont éloignées de lui.

Si l'on comprend bien les intérêts de la vidéo pour notamment éviter le transport des patients, je m'interroge cependant sur les risques de déshumanisation, à terme, de ce type de parcours de soin.

A mon sens, le contact est un des facteur clé de la confiance du malade envers son médecin, et partant de là, de la guérison.

20 octobre 2012

Octobre rose et cancer du sein

Vous ne pouvez pas être passé à côté de l'opération Octobre Rose, opération dédiée à la prévention du cancer du sein...

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1 femme sur 8 risque de développer un cancer du sein.Chaque année, le dépistage précoce permet de sauver des milliers de vie.

En octobre 2012, pour la 19ème année consécutive en France, la campagne de lutte contre le cancer du sein,  organisée par l'association "Le Cancer du Sein, Parlons-en !" lutte contre le cancer du sein.

Convaincre les femmes du rôle primordial du dépistage précoce et faire progresser la recherche, telle est la vocation de cette campagne et de l'Association.

Ce combat est désormais totalement intégré à l'offre de soins. Depuis le début de l'anée en effet, les Hospices Civils de Lyon proposent un parcours de soin complet et simplifié pour les femmes atteintes d'un cancer du sein.

Avec 53 000 nouveaux cas chaque année en France, le cancer du sein est le plus meurtrier chez les femmes âgées de 35 à 65 ans. La prise en charge de cette maladie représente donc bien un enjeu de santé publique. 

Ainsi, l'hôpital de la Croix Rousse à Lyon a mis en place une nouvelle plateforme de traitement du cancer pour accompagner les patientes à chaque étape de leur maladie, avec comme principe la simplification et l'accélération du parcours de soin. Ce dispositif innovant permettra aux patientes de mieux supporter le traitement, mais aussi de préparer dans les meilleures conditions un retour à la vie active.

Mais dans tous les cas, le meilleur traitement, c'est le dépistage !

19 octobre 2012

Interview d'une infirmière

Blog Actu Santé : Bonjour Betty, présentez nous en quelques mots votre carrière dans le monde de la santé


Betty : Bonjour, j'ai une carrière assez large, j’ai navigué entre beaucoup de services différents. Je pense que de l’habitude peut découler l’erreur donc je suis pour le mouvement


BAS : Pourquoi avez-vous décidé de devenir infirmière ? infirmi_re


B : En fait, c'était pour moi un rêve de gosse, le fait de vouloir aider les autres autant dans la douleur physique que morale. Oui voilà, je voulais aider mon prochain, et c'est ce que je fais au quotidien.


BAS : Quelles sont selon vous les qualités indispensables pour devenir infirmière ?


B : Il en faut beaucoup ! La patience, le sang froid, la disponibilité, l’écoute, l’empathie, un côté rassurant...


BAS : Le métier d’infirmière sur le terrain est-il conforme à ce que vous attendiez en sortant de l’école ?


B : Non, enfin de moins en moins, la formation a changé faisant des infirmières des techniciennes et délaissant parfois le côté humain ce qui est dommage.
De plus le manque de personnel ne favorise pas les choses...


BAS : Vous avez travaillé à l’hôpital public, mais aussi en clinique privée. Selon vous, où faut-il se faire soigner actuellement en France ?


B : Les deux ont leurs bons et leurs mauvais côtés, il ne faut pas généraliser ça dépend surtout de l’établissement lui-même et non de son statut.


BAS : Avez-vous déjà songé à devenir infirmière libérale ? Pourquoi ? Et pourquoi ne l’avez-vous pas fait ?


B : Oui j'y ai sougé, parce que j'avais envie d'évoluer financièrement, et dans ma carrière. Puis j'ai renoncé à ce projet. Cela représentait trop de contrainte d’horaires, les charges sociales élevées, le fait de devoir être sur la route été comme hiver…


BAS : Pensez-vous que les contraintes financières qui pèsent actuellement sur la santé nuisent à la qualité des soins et à l’accueil des patients ?


B : Oui, il est évident aujourd'hui que l'hôpital souffre d'un manque de moyens et de personnels. Beaucoup d'agents, qu'ils soient paramédicaux ou médicaux sont fatigués et démotivés.


BAS : L’hôpital qui vous emploi a-t-il souvent recours aux heures supplémentaires et aux intérimaires ?


B : Dans mon service, nous faisons très rarement appel à des intérimaires: on s’auto remplace en cas de besoins. Ce qui implique que nous cumulons beaucoup d'heures supplémentaires, et qu'il est parfois difficile voire impossible de les récupérer. Certaines de mes collègues ont pratiquement 1 mois à prendre ..


BAS : Enfin, Betty, une dernière question : avez-vous toujours le sentiment de faire correctement votre métier ?


Le mieux possible, au vu de la conjecture, mais pas aussi bien qu’avant, on en demande toujours plus avec moins …

17 octobre 2012

La Ministre de la Santé lance le chantier des urgences

Il faut bien se l'avouer, si notre système de santé est l'un des plus performants au monde, sa porte d'entrée, les urgences, en sont une bien piètre vitrine.... Délais d'attente incroyablement longs, locaux inadaptés, personnels débordés et parfois mal formés, tensions avec les usagers... Tel est le quotidien des urgences dans nimporte quel hôpital aujourd'hui.

SOS

 

La Ministre a réuni hier, le 16/10, le conseil national de l'urgence hospitalière, pour évoquer la mise en oeuvre de deux priorités :

1- La garantie pour chaque Français d'un accès aux soins en moins de 30 minutes

La Ministre a annoncé trois axes de travail :

- la mise en place de nouveaux SMUR ou de nouvelles antennes de SMUR

- la rénovation du statut de médecin correspondant du SAMU, pour "inciter les médecins généralistes à rejoindre le dispositif"

- la coopération entre services d'urgences pour conserver le maillage du territoire et la qualité de la prise en charge.

2- Le désengorgement des services d'urgence, en agissant à deux niveaux :

- faciliter la consultation d'un médecin de ville avant de se rendre aux urgences

- réduction du délai d'attente des patients et priorité donnée à la gestion des lits.

On ne peut que se réjouir de l'ouverture de ce chantier. Néanmoins, il ne faut pas qu'il se réduise à une table ronde de plus sans qu'aucune solution concrète, susceptible d'être appliquée sur le terrain, puisse être proposée.

Au delà de la nécessaire formation des agents, de l'aménagement des locaux destinés à accueillir les urgences et du budget de fonctionnement de ces structures, je pense à titre personnel qu'il serait grand temps d'engager une vaste réflexion sur le positionnement du patient dans le système de soin.

En effet, certains patients sont devenus de vrais usagers du service public de santé, et au delà, des consommateurs de soins. D'où l'engorgement des urgences au moindre rhume ou vomissement. Est-ce là la vocation de l'hôpital public, d'être à disposition, et de faire droit aux moindres demandes, même infondées? Et avec quel argent?

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16 octobre 2012

Faire entrer l'hôpital en prison?

L'accès aux soins en milieu carcéral est parfois délicat, voire difficile.

Locaux vétustes, matériel vieilllissant, personnel débordé sont le lot quotidien de la médecine pénitentiaire, qui a pourtant bien souvent à traiter des pathologies lourdes (addictions, diabète, troubles psychiatriques...).

menottes

En détention, les UCSA (unité de consultation et de soins ambulatoires) tentent d'être des petites unités médicales au sein des prisons.

Pour favoriser l'accès aux soins, la télémédecine y est de plus en plus utilisée.

Le recours à cette technologie pourrait-il pallier aux lacunes de l'accès aux soins en détention?

Le chef de service de l'UCSA de Bois d'Arcy argumente. "Les établissements pénitentiers sont des milieux isolés et il est très difficile d'y faire venir les spécialistes. De plus le transfert des détenus à l'hôpital pose de plusieurs problèmes : sécurité, moyens matériels et humains difficiles à organiser, coût... Ces éléments sont les motivations premières pour le développement et l'utilisation de la télémédecine en milieu carcéral. De plus les expériences prouvent que les patients en apprécient les avantages : réponse rapide, dignité préservée... Toutefois, si la télémédecine peut être une réponse à la problématique de l'accès aux soins en prison en améliorant l'offre de soin et l'apport du spécialiste, elle ne doit pas pour autant remplacer la médecine".

Un premier bilan après quelques mois d'utilisation dans certains centres de détention est globalement très positif. Les détenus bénéficient d'un accès aux soins spécialisés beaucoup plus rapide. Ils estiment que grâce à la télémédecine, leur suivi médical est meilleur. De manière générale, cet outil permet un meilleur accès aux soins, tout en baissant significativement le nombre des extractions médicales.

Petit "plus" en ces temps de crises budgétaires : la télémédecine, même si elle suppose un investissement de départ, induit de faibles charges de fonctionnement par la suite.

Restent quelques interrogations, et non des moindres : quid du codage? De la facturation? Et du prix de la consultation? Sans une réponse claire et précise à ces questions, ce système dont on vante les mérites n'a que peu de chances de se diffuser dans les prisons françaises...

15 octobre 2012

Les pharmaciens ont du mal à avaler la pilule...

Cette année, le congrès national des pharmaciens se tenait à Lille.

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Marisol TOURAINE ne s'y est pas rendue, mais elle a fait valoir par le Directeur de la Sécurité Sociale "la nécessité de revaloriser le métier de pharmacien et le rôle déterminant de celui-ci dans les soins de proximité".

Cette phrase, cependant, ne semble pas vraiment avoir rassuré les participants du congrès, qui redoutent la situation économique tendue de l'officine et craignent les conséquences du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 qui prévoit plus d'un milliard d'euros d'économies sur les produits de santé.

 

Le métier de phramaciens fait face aujourd'hui à d'importantes mutations.

L'une des questions en cours de débat est la délivrance de médicaments à l'unité, comme cela se fait déjà aux Etats Unis ou en Angleterre par exemple.

Actuellement, un médicament délivré sur deux n'est pas consommé. Il est donc jeté, ce qui induit gaspillage, dans un monde d'inégal accès aux soins, ou conservé pour une utilisation ultérieure, avec les risques que l'on connait de l'auto médication. La vente de nos médicaments telle qu'elle se fait aujourd'hui, par boîte, permet une traçabilité, une sécurité et un meilleur suivi du médicament. Elle réduit également les risques liés à une mauvaise utilisation du médicament, car seules les boîtes contiennent une notice d'utilisation.

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La délivrance de comprimés à l'unité augmenterait considérablement les risques de contrefaçon, car il est plus aisé de contrefaire un cachet que le médicament et son emballage. En outre, les industriels relèvent qu'il serait très cher de revoir entièrement certaines chaines de fabrication, conçues pour fabriquer des boîtes/plaquettes.

 

Une autre question en suspens est le mode de rémunération des pharmaciens. Marisol TOURAINE, lors du congrès des pharamaciens, a manifesté son soutien à une démarche de réforme de la rémunération des pharmaciens. Elle souhaite ainsi "mieux valoriser leur acte de dispensation mais aussi leur rôle d'accompagenement".

Cette nouvelle modalité de rémunération ne serait plus uniquement basée sur la marge liée à la vente, maus introduirait une part d'honoraires et des rémunérations sur objectifs. Ce qui suscite bien sûr de nombreuses interrogations...

 

14 octobre 2012

Le Pasteur Don

Du 12 au 14 octobre 2012 a lieu l'opération "Pasteur don", opération de sensibilisation et d'appel au don.

L'an dernier, plus de 1 154 000 € ont été récoltés et ont permis de faire avancer la recherche sur des domaines aussi variés que l'autisme, la maladie d'Alzheimer, les cancers, les maladies émergentes ou encore la génétique.

Cette année, pour la deuxième édition, la comédienne Alexandra Lamy est la marraine de l'opération.

Pour apporter un coup de pouce à la recherche française, vous pouvez vous rendre sur le site www.aiderpasteur.fr

pasteurdon

13 octobre 2012

Un Français prix Nobel 2012

Le mardi 9 octobre dernier, le prix Nobel de physique a été attribué au Français Serge HAROCHE et à l'Américain David WINELAND pour leurs travaux sur la physique quantique et les photons.

Ces deux chercheurs ont eu des approches convergentes sur la manipulation d'objets infinimen petits mais sans jamais avoir travaillé ensemble.

serge_haroche

 

 

Né au Maroc en 1944, Serge HAROCHE a très tôt voulu comprendre les lois mathématiques qui dévrivent la nature, et plus particulièrement celles de l'infiniment petit. Il fait des études à l'ENS Paris, et devient chercheur au CNRS, maître de conférence à Polytechnique, Professeur à l'université Pierre et Marie Curie et membre de l'institut de France. Il a enseigné pendant neuf ans à yale. Nommé en 2001 Professeur au COlège de France dans la chaire de physique quantique, il dirige aujourd'hui le groupe d'électrodynmique des systèmes simples au sein de l'ENS.

 

photonLe Français est récompensé pour ses expériences sur des grains de lumière, les photons, alors que l'Américain a pour sa part manipulé des particules de matière, des ions et des atomes. Ces travaux devraient permettre de mettre en oeuvre de nombreuses applications, comme la réalisation d'horloges ou d'ordinateurs à ion. En effet, le comité nobel a précisé que "les luréats ont ouvert la voie à une nouvelle ère d'expérimentation de la physique quantique en faisant la démonstration de l'observation des particules quantiques individuelles sans les détruire".

Le chercheur français a il y a quelques années réalisé l'exploit expérimental de piéger quelques photons entre deux miroirs et de mesurer leurs propriétés physiques.

il a bien sûr été unaniment félicité par le monde politique, scientifique et universitaire français et mondial.

C'est une fierté pour notre pays, qui compte déjà 13 lauréats depuis un siècle.

Une fois encore, l'attribution du Prix Nobel à un Français démontre la richesse de la recherche française.

 

12 octobre 2012

Le PLFSS 2013 : une avalanche de critiques

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013, après une présentation en conseil des ministres le 10 octobre, sera examiné par le Parlement à partir de lundi. PLFSS2013

Dès les premières présentations du texte, les critiques ont fusé de toutes parts. Que ce soit la confédération des syndicats médicaux français (CSMF), la fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), le collectif interassociatif sur la santé (CISS), et bien d'autres encore, tous les acteurs du domaine de la santé ont fait part de leur déception sur ce texte, "comme pour 2012, le budget 2013 est un budget de crise qui ne permet pas de rattraper les retards".

Les fédérations hospitalières ont elles aussi exprimé leur inquiétude face à ce texte, "qui ne permettra pas de maintenir l'emploi", selon Gérard Vincent, délégué général de la FHF.

Le rapporteur du projet de loi, le député Christian Paul, estime quant à lui que "le PLFSS 2013 engage une mutation du système de santé et sécurise son financement".

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Qu'en est-il exactement de ce projet de loi? Quelles sont les principales mesures proposées pour le secteur sanitaire et médico social?

  • un élargissement de l'assiette de la taxe sur les salaires
  • une contribution additionnelle de solidarité
  • un plafonnement du remboursement du fonds CMUcertification des comptes de la CNSA
  • expérimentation relative à la permanence des soins ambulatoires
  • expérimentation de nouveaux modes d'expérimentation et de transports des patients
  • promotion de la dynamique pluriprofessionnelle
  • création de la fonction de "praticien local de médecine générale"
  • expérimentations destinées à optimiser le parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d'autonomie
  • prise en charge à 100% de l'IVG
  • expérimentation de la visite médicale collective
  • Arrêt du processus de convergence tarifaire
  • Possibilités pour certains établissements de santé d'émettre des billets de trésorerie
  • financement du plan d'aide à l'investissement dans le secteur médico social
  • ONDAM fixé à 2.7%

Le blog actu santé vous tiendra évidemment informé de l'avenir de ce texte.

 

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